Chaque fois que vous avez besoin de ralentir et de revenir à vous-mêmes, il est inutile de vous précipiter chez vous ou à votre centre de méditation pour pratiquer la respiration consciente. Vous pouvez le faire au lieu même où vous vous trouvez, dans votre fauteuil au bureau ou au volant de votre voiture. Si ce lieu est un centre commercial plein de monde ou la file d’attente dans une banque, peu importe: dès l’instant où vous vous sentez épuisé et éprouvez le besoin de vous recentrer, vous pouvez pratiquer la respiration consciente, debout, à cet endroit même. Où que vous soyez, vous pouvez respirer avec attention. Nous avons tous besoin de nous retrouver de temps à autre, pour mieux affronter les difficultés de la vie. Et cela est faisable dans n’importe quelle position –debout, assis, couché, en marchant.
commentaires reçus de Stuart (version française)
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Je lis ces entraînements qui sont distribué par courriel en comparaison avec les quatorze entrainements originaux, telles que decrit dans le livre "Being Peace." Ce que je trouve vraiment intéressant est que la version originale de cet entraînement est ciblé presque entièrement à la souffrance des autres, et aux problèmes de société.
Pourquoi le changement d'emphases? Pour moi, c'est le grain pour mes pensées de cette semaine ...
Je trouve, dans ma vie, que c'est plus facile de construire des problèmes extérieur de moi. Ce n'est pas difficile de trouver des fautes dans toutes des éléments de la vie collective ou politique. Et si on agit, on peut sentir puissant, ou, au moins, un bon citoyen. Mais, je trouvais, il y a aussi un risque avec cette scenario: le risque de créer et concrétiser, une "narration de soi" pour éviter le vulnérabilité et souffrance dans nous mêmes.
La "formation mentale" de militant ou d'activiste peut nous mener sur un chemin que nous pouvons prendre à une destination loin de nous-mêmes, et de renforcer le violence contre ce que nous luttons. Pour ce, je comprend la raison pour le changement d'emphases - d'éviter l'attachement aux idées faux, et de revenir à nous-mêmes.
Mais par contre, j'étais aussi déçu avec le changement, en pensant que ça indique la mauvaise influence de l'attitude américaine bourgeoise, d'être ciblé seulement sur l'intériorité, pendant la société brûle... et de créer un société d'adultes/enfants, qui sont concernes seule-, ou première-ment avec leur petites blessures d'enfance, et qui exigent plus et plus de ressources de ce monde, et qui créent plus et plus de déchets pour ce monde.
La solution? En réfléchissant, ce n'est pas vraiment un topique qui a besoin d'une solution. C'est seulement, je pense, un cri de revenir à la pratique. Les deux pièges que j'ai décrit ci dessus sont des deux extrêmes, et je pense que la vie quotidienne a tous les deux, mélangés et entrecroisés.
Ça nous invite, un fois encore, de revenir à la fondation de notre pratique: utilisant la pleine conscience pour améliorer la reconnaissance de souffrance - de soi, des autres, et les liens entre les deux - et notre réponses infinis - bons et mauvaises.